Les produits ménagers : à qui profite la chimie ?
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A partir des années 60' et en une vingtaine d'années, l'usage des produits ménagers s'est extrêmement banalisé.
Les rayons des supermarchés et parfois aussi... vos armoires en sont pleins : des dizaines de produits pour nettoyer, récurer, laver, désinfecter… nos maisons... Et prendre soin de nos corps.
Avec notre complicité, assumée ou non, notre environnement quotidien est envahi par la chimie.
Mais comment faisaient nos grands-parents avant que Procter and Gamble et Unilever n’envahissent nos cuisines et salles de bain ? Ils utilisaient quelques produits de base, souvent naturels et facilement accessibles : le bicarbonate de soude, le vinaigre, le sel marin, le savon de Marseille...
Pour suppléer à l'insuffisance de la Commune en matière de communication et de prévention, je vous propose un Memento pour apprendre comment fabriquer soi-même, de manière simple, économique et écologique, quelques produits d’usage courant :
dentifrice
liquide vaisselle
désinfectant WC
détartrant WC
assouplissant...
gel douche
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De quoi retrouver les vieux trucs d’antan et faire la nique à l’onéreuse et très polluante industrie chimique des produits ménagers et autres !
Le greenwashing (écoblanchiment en français) qualifie le comportement d'entreprises nocives du point de vue social ou environnemental qui tentent de préserver et étendre leurs marchés en se présentant comme des amis de l'environnement et des leaders dans le combat pour éradiquer la pauvreté.
Le public reçoit des informations qui sont – dans le fond et dans leur forme – une présentation déformée des faits et de la vérité, dans le but d'apparaître socialement et/ou environnementalement responsable. Si l'écoblanchiment n'est pas toujours facile à identifier, il est pourtant bien présent.
Le remède : esprit critique et vigilence !
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